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Categorie : Montagne

Un Soir Dans Les Méandres

Un Soir Dans Les Méandres

Parc national d’Ordesa et du Mont-Perdu, Pyrénées Espagnole

Quand tout s'aligne…

Quand tout s’aligne…

Le plafond de nuages s’est installé sur la région grenobloise dès la fin de la mâtiné et n’est pas décidé à bouger. D’après les webcam, il se situe autour de 2000-2100m d’altitude. Donc au dessus du Vercors. On ne pourra pas profiter du brouillard en forêt ni de la mer de nuage. Quant à l’Oisans, c’est plutôt l’inverse. Les nuages du matin se dissipent annonçant une tempête de ciel bleu.

Je me décide pour l’Oisans. Le but est toujours de passé un bon moment en montagne, la photo c’est accessoire.
Des nuages commencent à se former en fin d’après midi. Arrive l’heure d’or, l’heure avant le couché du Soleil. Mais la lumière reste dure avec de fort contrastes. Le Soleil passe a travers des nuages d’altitudes avant se coucher, il n’y aura pas de belles couleurs. Tant pis, ça sera pas pour cette fois. On est quand bien là, à cet endroit magnifique, découvrant une nouvelle vue sur ce sommet que je connais si bien.

Oh mais attend ! Après le coucher il y a l’heure bleu, il va peut-être encore se passer quelque chose. Les nuages sont bien montés, c’est une véritable marré maintenant. Des lueurs persistent dans les montagne et la Lune commence a descendre pour se mettre dans le cadre. Finalement, tous s’aligne…

Bon a part qu’il est tard, les temps de poses s’allongent un peu trop et j’ai pas le bon trépied. Et ensuite il faudra redescendre à la frontale dans la pente herbeuse un peu raide et presque a travers le brouillard ! Tous c’est bien passé. C’était dimanche soir.

Là Où Il n'y a Pas De Chemin

Là Où Il n’y a Pas De Chemin

Après une longue ascension qui se conclura par un méchant pierrier, je chemine tranquillement sur cette arrête. Les pentes herbeuse ont laissé place a terrain lunaire. Le décors tout autour est grandiose. Ici il n’y a aucun sentier. Pour y venir, il faut connaître le coin. Et ça donne le sentiment d’être privilégié, j’imagine que peu de monde passe par ici.

Je suis au Soleil. Des nuages arrivent par l’ouest. Ils semblent avoir décidé de se ressembler au dessus des Ecrins pour former un plafond bien sombre. La Meije garde sa robe blanche dans la lumière.

Le Mur et les Ombres

Le Mur et les Ombres

Les nuages défilent et déploient leurs ombres. Ils s’embrasent avec les sommets dans la lumière d’une fin d’après midi.

Massif du Soreiller. Parc National des Ecrins. Aout 2020.

Tempête de Ciel Bleu dans les Cerces

Tempête de Ciel Bleu dans les Cerces

Septembre dernier, dernière semaine avant que la météo ne deviennent capricieuse.

Par Delà Le Silence

Par Delà Le Silence

L’heure bleue dans les Ecrins. Tout est très calme. Seul le murmure des torrents qui descendent des valons tout en bas viens rompre le silence.

Ténébres Naissante

Ténébres Naissante

Dernière lueurs sur un rocher au hasard. Parc National des Écrins.

La Moraine du Glacier d'Arsine

La Moraine du Glacier d’Arsine

Dans les lueurs chaudes du Soleil levant. Parc National des Écrins.

Dix Minutes Avant le Couché du Soleil

Dix Minutes Avant le Couché du Soleil

Montagne des Agneaux – Parc National des Écrins

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  • Lac d'Arsine

Lac et Glacier d’Arsine – 25 juillet 2010 / 26 juillet 2020

Après avoir fait la comparaison l’année dernière du glacier de Quirlies à 5 ans d’intervalle, je me suis dit que je pourrais faire pareil avec le glacier d’Arsine cette année pour les 10 ans de mon premier bivouac dans le coin.
Voici donc le Avant / Après du Lac et du Glacier d’Arsine à 10 ans, 1 jours, 1 heure, 14 minutes et 45 secondes près. Si, si !
Bon j’ai bien essayé de retrouvé les même cailloux au premier plan mais, moi qui pensais naïvement que les cailloux était des choses inertes, c’est pas si simple. En 10 ans ils ont eu le temps de bouger ! Cela dit, si vous regardez attentivement vers le centre de l’image, il y en a qui sont resté fidèle au poste.
Sans surprise, y’a de la glace qui est partie. Je me souvenais très bien du grand mur de glace qui ce jetait presque dans l’eau au fond du lac. En arrivant, j’ai tout de suite vue qu’il avait bien diminué. En comparant les photos, on s’aperçois qu’il a presque disparu. Comme si des bulldozer était venu terrassé le terrain en prévision de je ne sais quelle infâme construction.
La majeur partie du glacier étant recouvert de caillasses, on remarque pas trop d’autres différences. Il y a quand même un gros trou dans la glace d’ou sort un torrent d’eau qui n’existait pas il y a 10 ans. La partie supérieur, la ou la neige blanche est visible, ne semble pas avoir beaucoup changé. Les taches de neige perché dans le montagne sont plus important cette année. La fonte était manifestement plus avancée en juillet 2010 que cette année puisqu’on a pas encore vraiment eu de grosses chaleurs. Mais ne vous inquiétez pas, la canicule arrive. Elle est juste un peu en retard cette année.